Le vaisseau de l'équipe à Raven
5 messages
Page 1 sur 1
Appel de détresse
Pourquoi moi ? Qu'ai-je bien pu faire au bon dieu pour mériter cela ? Oui Dieu ! Je suis terrorisée. Il me bats tous les jours, j'ai cherché sa colère jusqu'à ce qu'il me tue, mais jamais il ne m'a achevé avec une voleuse d'âmes. Je suis là, il me frappe, me tue encore une fois et mon corps se soigne grâce à l'Orgone. Quel jour sommes-nous, je l'ignore. Combien de fois suis-je morte ? Je l'ignore. Il a ce secret sur moi et me fera tuer si je m'évade. Je me fais frapper tous les jours depuis que j'ai utilisée mes griffes sur son visage, je l'ai défiguré. Salopard d'humains ! Pêcheur dans l'âme, tu voulais la liberté, tes aïeux se sont battus pour obtenir une liberté que tu bafoues en m'enchaînant et en me réduisant à l'esclavage. Alors, je préfère mourir pour mes pêchers que de rester ton esclave.
J'ai été violée, et je me suis réveillée Nephilim. Comment affronter cela ? Je n'ai jamais eu de parents, je ne m'attendais certainement pas à cela. Je n'ai jamais été éduquée pour affronter cette vérité. Laser m'a aidé. Je ne la remercierai jamais, pour ne pas lui faire prendre le moindre risque. Je ne veux pas que cet humain se venge sur elle. J'ai fuit, ce matin il m'a frappé, et je l'ai projeté contre le mur. Pourvu que je ne l'ai pas tué. A moins que je ne le veuille au fond de moi. Au mon Dieu ! Suis-je une meurtrière ? J'ai peur, je suis terrorisée. J'ai fondu dans cette navette spatiale, un petit schooner, comme on les appelle. Et me voilà à lancer des appels de détresse à qui veut m'entendre. Je quitte le vaisseau prison. J'ai dû utiliser d'Orgone pour m'enfuir, je suis épuisée, j'ai du sang sur moi. Je ne sais pas bien piloter. Je lance des appels de détresse et crie à qui veut m'entendre que je demande l'asile !
-- Asile ! Asile ! Pitié, je demande l'asile... Je m'appelle Katelyn Trinity, je demande asile... S'il vous plait ! Répondez-moi !
Le schooner s'était éjecté du vaisseau prison deux minutes plus tôt et partait lentement vers le coeur de la flotte comme un petit navire à la dérive. La rotation du vaisseau sur lui-même était du au sas qu'il avait percuté à sa sortie. Je ne sais pas piloter. J'ai appuyé sur le bouton "Eject". Que pouvais-je faire d'autre ? Il dérivait. A son bord, personne ne savait le piloter. J'étais la seule âme à bord. Je me sentais seule. J'étais croyante. Une des rares croyantes d'ailleurs. On se cachait. C'était taboo, mais j'avais besoin de Dieu pour avoir de l'espoir. Alors, je priais...
De l'extérieur, ces indices étaient évidents. Il serait difficile d'aponter où que ce soit vu comme j'avais fait dériver le vaisseau. Je réalisais soudain que j'allais me perdre et finir dans l'espace. J'avais seulement réussi à appeler à l'aide. Le poste de pilotage ne ressemblait à rien que je ne connaissais. Mais entre l'éternelle souffrance et une lente agonie dans le vide spatial, je referais le même choix. Je m'assis sur le siège, étendit mes jambes sur le tableau de bord. Au pire j'ouvrirais la porte et serait éjectée. Peu importe. Au dessus de moi, la flotte s'éloignait.
J'appuyais sur un bouton "Repeat" et j'entendais l'écho de ma voix répéter mon message d'aide. J'allais mourir, pourquoi se déplacerait-on pour moi. Le vaisseau prison ne pouvait pas se mettre en branle. C'était ma seule satisfaction. Alors, j'attendais. Combien de temps allait-il falloir pour que je perde de vue la flotte ?
-- Asile ! Asile ! Pitié, je demande l'asile... Je m'appelle Katelyn Trinity, je demande asile... S'il vous plait ! Répondez-moi ! La radio émettait. Aucune réponse.
Le schooner avait traversé la flotte dans le plus intergalactique des silences...
-- Asile ! Asile ! Pitié, je demande l'asile... Je m'appelle Katelyn Trinity, je demande asile... S'il vous plait ! Répondez-moi !
J'ai été violée, et je me suis réveillée Nephilim. Comment affronter cela ? Je n'ai jamais eu de parents, je ne m'attendais certainement pas à cela. Je n'ai jamais été éduquée pour affronter cette vérité. Laser m'a aidé. Je ne la remercierai jamais, pour ne pas lui faire prendre le moindre risque. Je ne veux pas que cet humain se venge sur elle. J'ai fuit, ce matin il m'a frappé, et je l'ai projeté contre le mur. Pourvu que je ne l'ai pas tué. A moins que je ne le veuille au fond de moi. Au mon Dieu ! Suis-je une meurtrière ? J'ai peur, je suis terrorisée. J'ai fondu dans cette navette spatiale, un petit schooner, comme on les appelle. Et me voilà à lancer des appels de détresse à qui veut m'entendre. Je quitte le vaisseau prison. J'ai dû utiliser d'Orgone pour m'enfuir, je suis épuisée, j'ai du sang sur moi. Je ne sais pas bien piloter. Je lance des appels de détresse et crie à qui veut m'entendre que je demande l'asile !
-- Asile ! Asile ! Pitié, je demande l'asile... Je m'appelle Katelyn Trinity, je demande asile... S'il vous plait ! Répondez-moi !
Le schooner s'était éjecté du vaisseau prison deux minutes plus tôt et partait lentement vers le coeur de la flotte comme un petit navire à la dérive. La rotation du vaisseau sur lui-même était du au sas qu'il avait percuté à sa sortie. Je ne sais pas piloter. J'ai appuyé sur le bouton "Eject". Que pouvais-je faire d'autre ? Il dérivait. A son bord, personne ne savait le piloter. J'étais la seule âme à bord. Je me sentais seule. J'étais croyante. Une des rares croyantes d'ailleurs. On se cachait. C'était taboo, mais j'avais besoin de Dieu pour avoir de l'espoir. Alors, je priais...
De l'extérieur, ces indices étaient évidents. Il serait difficile d'aponter où que ce soit vu comme j'avais fait dériver le vaisseau. Je réalisais soudain que j'allais me perdre et finir dans l'espace. J'avais seulement réussi à appeler à l'aide. Le poste de pilotage ne ressemblait à rien que je ne connaissais. Mais entre l'éternelle souffrance et une lente agonie dans le vide spatial, je referais le même choix. Je m'assis sur le siège, étendit mes jambes sur le tableau de bord. Au pire j'ouvrirais la porte et serait éjectée. Peu importe. Au dessus de moi, la flotte s'éloignait.
J'appuyais sur un bouton "Repeat" et j'entendais l'écho de ma voix répéter mon message d'aide. J'allais mourir, pourquoi se déplacerait-on pour moi. Le vaisseau prison ne pouvait pas se mettre en branle. C'était ma seule satisfaction. Alors, j'attendais. Combien de temps allait-il falloir pour que je perde de vue la flotte ?
-- Asile ! Asile ! Pitié, je demande l'asile... Je m'appelle Katelyn Trinity, je demande asile... S'il vous plait ! Répondez-moi ! La radio émettait. Aucune réponse.
Le schooner avait traversé la flotte dans le plus intergalactique des silences...
-- Asile ! Asile ! Pitié, je demande l'asile... Je m'appelle Katelyn Trinity, je demande asile... S'il vous plait ! Répondez-moi !
Re: Appel de détresse
Un pied sur le panneau de contrôle devant moi, un verre dans la main, je fais la gueule et je ne bronche pas. Autour de moi, mon équipe s'affaire. Princesse donne des coordonnées parfaites. Le barge conduit prudemment pour une fois, ce qui signifie que bientôt, on va tous valser dans cette carlingue, Le lynx aide aux manœuvres et le Drayoir se tient à mes côtés, silencieux. Je tape du pied, en cadence, ce qui a le don d'énerver tout le monde, mais je m'en contre fou car je suis sur le point d'exploser moi aussi ! Alors je continue de taper, plus vite, plus fort et c'est finalement le Lynx qui ne tient plus. Il ne tient jamais la distance de toute façon ...
Raven, s'te plaît, arrête.
Raven, s'te plaît arrêteuhhhhh.
Je lui répondais du tac au tac et il se leva. J'en fis de même et le Drayoir bougea un peu. Si il devait se mettre entre nous, il le ferait. Alors, je regardais le Drayoir avec l'envie de lui foutre mon poing dans la gueule. Et il me regarda avec cette lueur qui disait vas-y. Ce qui eut le don de m'exciter ... Pas vraiment le moment dommage ...
Rappelle moi pourquoi on doit se taper les autres qui sont en train de fureter dans mon vaisseau ?
Ceux sont les ordres.
De qui ses putains d'ordres ??
De l'Amiral.
Lequel ?
Il pencha sa tête, signifiant dois-je vraiment le dire ? Mais ce fut Princesse qui répondit.
De notre mère Raven. Rassis-toi, Jason est entrain de s'occuper d'eux. Ils ne seront pas dans tes pattes.
Mouais, ils ont pas intérêt, où je leur éclate la gueule !
Et je me rassois en boudant. Je suis dégoutée. Parce que je sens bien qu'il y a des présences dans mon dos et j'ai envie de les éclater. Et c'est à ce moment que Le Barge capte quelque chose qu'il commence à passer en boucle dans tous les hauts parleurs du Liberty. Bah voyons, comment rameuter tout le monde ici ! Et là je tourne mon visage agacée vers Princesse et elle me sourit joyeusement. Qu'est ce que je peux aimer ma soeur ...
HRP : Vous êtes "cordialement" invité à rejoindre le Liberty si vous le souhaitez.
Raven, s'te plaît, arrête.
Raven, s'te plaît arrêteuhhhhh.
Je lui répondais du tac au tac et il se leva. J'en fis de même et le Drayoir bougea un peu. Si il devait se mettre entre nous, il le ferait. Alors, je regardais le Drayoir avec l'envie de lui foutre mon poing dans la gueule. Et il me regarda avec cette lueur qui disait vas-y. Ce qui eut le don de m'exciter ... Pas vraiment le moment dommage ...
Rappelle moi pourquoi on doit se taper les autres qui sont en train de fureter dans mon vaisseau ?
Ceux sont les ordres.
De qui ses putains d'ordres ??
De l'Amiral.
Lequel ?
Il pencha sa tête, signifiant dois-je vraiment le dire ? Mais ce fut Princesse qui répondit.
De notre mère Raven. Rassis-toi, Jason est entrain de s'occuper d'eux. Ils ne seront pas dans tes pattes.
Mouais, ils ont pas intérêt, où je leur éclate la gueule !
Et je me rassois en boudant. Je suis dégoutée. Parce que je sens bien qu'il y a des présences dans mon dos et j'ai envie de les éclater. Et c'est à ce moment que Le Barge capte quelque chose qu'il commence à passer en boucle dans tous les hauts parleurs du Liberty. Bah voyons, comment rameuter tout le monde ici ! Et là je tourne mon visage agacée vers Princesse et elle me sourit joyeusement. Qu'est ce que je peux aimer ma soeur ...
HRP : Vous êtes "cordialement" invité à rejoindre le Liberty si vous le souhaitez.
Re: Appel de détresse
J’ai peur. Je suis terrorisée, oui. Je vois un vaisseau s’approcher. Il semble immense par rapport à ma capsule. Ma peur le grossit, elle le surdimensionne, je reste tétanisée. Ce vaisseau, je ne le connais pas et je ne l’ai pas vu arriver. Que va-t-il se passer ? Est-ce que le vaisseau prison l’a envoyé pour me récupérer ?
Au risque de paraître indécise, j’aurais préféré que personne ne vienne. Qui sait, d’ici quelques heures, j’aurais pu être absorbée par la gravité d’une étoile et mourir en paix ? Je veux mourir, laisser moi mourir, définitivement. Je me mets à pleurer et je m’en veux de vouloir mourir. Je murmure à voix basse une prière comme si cela pouvait me sauver. Plus il approche, plus je me recroqueville dans un recoin de la navette, la tête entre les genoux et les mains sur le crâne. Je me balance d’avant en arrière en pleurant mon passé. J’étais si pure et me voilà souiller par tous ses viols. Je suis soulagée de ne jamais y avoir pris de plaisir, mais c’est horrible de découvrir que je suis un monstre.
Les nausées me reprennent et seul un choc sur le côté de la navette me sort de cette torpeur. Je me jette devant le parebrise et je regarde. Le vaisseau est collé à l’issue. Il vient d'apponter. J’ai peur, je n’ai pas d’armes. Je refuse d’utiliser mes pouvoirs, mais peut-être devrais-je le faire pour me défendre ? Je laisse le sas fermé, même si on frappe derrière la porte.
J’attrape un objet contondant et le garde en main. J’ai l’air fine avec ce casque à la main. La porte s’ouvre malgré moi et je découvre un gars qui ne se rue pas sur moi. Que me veut-il ? M’aider ? Je ne crois plus en l'altruisme depuis que j’ai rencontré les Insoumis.
Il n’a pas l’air de vouloir se jeter sur moi… Je suis hésitante, alors il me faut une sorte de signe pour quitter la navette. Je le suis et je suis surprise qu’il ne m’ait pas désarmé. Tant mieux, je garde ce casque, mes doigts se sont crispés dessus et sans m’en rendre compte, ils se sont incrustrés dans le métal, révélant ma nature Nephilim.
J’arrive devant un groupe. Ils ont besoin d’être plusieurs ? Je sens leurs auras, ils sont Nephilim eux aussi visiblement. Qui sont-ils ? Ont-ils fuit ? Je baisse un peu la tête, devrais-je me battre contre eux ? Après tout, c'est ce qu'on attend de moi.
« Tue-les ! » me crie cette voix dans la tête, mais je me contente de répondre : « Merci ! »
Au risque de paraître indécise, j’aurais préféré que personne ne vienne. Qui sait, d’ici quelques heures, j’aurais pu être absorbée par la gravité d’une étoile et mourir en paix ? Je veux mourir, laisser moi mourir, définitivement. Je me mets à pleurer et je m’en veux de vouloir mourir. Je murmure à voix basse une prière comme si cela pouvait me sauver. Plus il approche, plus je me recroqueville dans un recoin de la navette, la tête entre les genoux et les mains sur le crâne. Je me balance d’avant en arrière en pleurant mon passé. J’étais si pure et me voilà souiller par tous ses viols. Je suis soulagée de ne jamais y avoir pris de plaisir, mais c’est horrible de découvrir que je suis un monstre.
Les nausées me reprennent et seul un choc sur le côté de la navette me sort de cette torpeur. Je me jette devant le parebrise et je regarde. Le vaisseau est collé à l’issue. Il vient d'apponter. J’ai peur, je n’ai pas d’armes. Je refuse d’utiliser mes pouvoirs, mais peut-être devrais-je le faire pour me défendre ? Je laisse le sas fermé, même si on frappe derrière la porte.
J’attrape un objet contondant et le garde en main. J’ai l’air fine avec ce casque à la main. La porte s’ouvre malgré moi et je découvre un gars qui ne se rue pas sur moi. Que me veut-il ? M’aider ? Je ne crois plus en l'altruisme depuis que j’ai rencontré les Insoumis.
Il n’a pas l’air de vouloir se jeter sur moi… Je suis hésitante, alors il me faut une sorte de signe pour quitter la navette. Je le suis et je suis surprise qu’il ne m’ait pas désarmé. Tant mieux, je garde ce casque, mes doigts se sont crispés dessus et sans m’en rendre compte, ils se sont incrustrés dans le métal, révélant ma nature Nephilim.
J’arrive devant un groupe. Ils ont besoin d’être plusieurs ? Je sens leurs auras, ils sont Nephilim eux aussi visiblement. Qui sont-ils ? Ont-ils fuit ? Je baisse un peu la tête, devrais-je me battre contre eux ? Après tout, c'est ce qu'on attend de moi.
« Tue-les ! » me crie cette voix dans la tête, mais je me contente de répondre : « Merci ! »
Re: Appel de détresse
Je jette un coup d'oeil à mon équipe. Le Drayoir et le lynx se sont positionnés de tel sorte que cette femme en face de nous ne nous fera pas de mal ... Mais si son pouvoir c'est l'implosion, nous sommes bons pour dérivés dans tous l'univers pendant des siècles et des siècles. C'est chiant les Nephilim, on ne connait jamais leurs pouvoirs. On sent sa nature et elle semble avoir de l'orgone, alors qui est-elle ? Le Barge est déjà dans le petit vaisseau de secours en train de bidouiller pour essayer de comprendre ce qu'est ce truc. Je peste de ne pas avoir Hope sous la main. Je ne connais pas meilleur que lui, même si je me méfie de lui. Vu que je n'ai aucune confiance envers les autres, c'est pas bien compliqué. Heru Ur pourrait se tenir dans mon dos, que je n'aurais aucune confiance en lui. Me confronter à lui me manque. Enfin, trêve de nostalgie. Je ne bouge pas d'où je suis. Je trône comme le chef au loin de tout ce remue ménage. Parce que je si je m'approche de cette nana, je vais lui faire peur non ? Alors c'est Princesse qui va vers elle. Elle a ses mains bien en évidence, un peu écarte de son propre corps et elle lui parle doucement.
Bonjour je suis Princesse, je suis gentille, je ne te veux pas de mal ... Blablabla. Vous voyez le genre n'est ce pas. Alors je les laisse causer, mais mon vaisseau ne repartira pas tant que l'on ne sera pas qui elle est. Je sens les présences dans mon dos, alors j'aboie. Oui oui, je fais "Waouf" pour leur faire comprendre de sa casser. Je veux pas d'eux dans mes pattes. Et je finis pas m'impatienter. Parce que je n'ai aucune patience.
Bon t'es qui bordel et tu fou quoi ici au milieu de nulle part ? Oh, et t'avise pas de nous mentir, on déteste ça dans la famille. Allez crache le morceau qu'on dégage d'ici au plus vite.
J'ai été plutôt sympa non ? Alors pourquoi Princesse me regarde comme si je venais d'anéantir toutes ses belles paroles en même pas deux secondes ? Pourquoi le lynx cache son sourire derrière sa main. Et pourquoi Le Barge me dit qu'il veut m'épouser ? Ouais il dit tout le temps ça dès que je le fais marrer. Il n'y a que Le Drayoir qui reste égal à lui même. Professionnel.
Bonjour je suis Princesse, je suis gentille, je ne te veux pas de mal ... Blablabla. Vous voyez le genre n'est ce pas. Alors je les laisse causer, mais mon vaisseau ne repartira pas tant que l'on ne sera pas qui elle est. Je sens les présences dans mon dos, alors j'aboie. Oui oui, je fais "Waouf" pour leur faire comprendre de sa casser. Je veux pas d'eux dans mes pattes. Et je finis pas m'impatienter. Parce que je n'ai aucune patience.
Bon t'es qui bordel et tu fou quoi ici au milieu de nulle part ? Oh, et t'avise pas de nous mentir, on déteste ça dans la famille. Allez crache le morceau qu'on dégage d'ici au plus vite.
J'ai été plutôt sympa non ? Alors pourquoi Princesse me regarde comme si je venais d'anéantir toutes ses belles paroles en même pas deux secondes ? Pourquoi le lynx cache son sourire derrière sa main. Et pourquoi Le Barge me dit qu'il veut m'épouser ? Ouais il dit tout le temps ça dès que je le fais marrer. Il n'y a que Le Drayoir qui reste égal à lui même. Professionnel.
Re: Appel de détresse
Je sens leurs auras, il y a tellement de Nephilim. Suis-je tombé d’un vaisseau de monstres cruels à un autre ? Sont-ils comme moi des Nephilim qui fuient des humains ? J’ai du mal à respirer, je suis tétanisée, surtout quand la jeune femme s’approche de moi. Elle me parle gentiment. Cela cache-t-il quelque chose ? J’ai peur, je n’arrive pas à réfléchir et je n’arrive pas à canaliser l’Orgone pour recouvrer mon calme.
J’ai vraiment peur et ma tétanie agace l’une des femmes. Elle me crie dessus, alors je recule jusqu’à ce qu’une des parois de son navire ne stoppe ma retraite. Un homme fouille mon petit vaisseau, disons ma capsule, mais il est loin de moi, alors mon esprit l’écarte. Mais le mot mensonge m’énerve. Ne pas aimer le mensonge dans la famille ? Les insoumis m’ont menti, violé, comment ose-t-elle ? Elle n’est peut-être pas Insoumise après tout.
-- Trinity, je m’appelle Trinity.
J’espère qu’elle ne comprendra pas ce que signifie ce nom que m’ont affublé mes anciens maîtres. Je maudis ma nature Nephilim, car mon corps ne peut pas témoigner des sévices que j’ai subi. Mais l’usure de ma tenue peut peut-être parler un peu plus.
Je réalise que j’ai balancé mon nom en boucle durant mon sauvetage, alors je lui apporte quelques précisions.
-- J’étais sur le vaisseau prison, je suis… j’étais une de leur prisonnière, mais je n’ai commis aucun crime.
Je baisse la tête.
-- J’étais leur esclave.
Et à la réaction de certains, je réalise que bien peu de monde semble avoir une idée de ce qui se trame sur ce vaisseau. Je regarde celle qui m’a hurlé dessus et j’attends ses questions. C’est la chef ? Je ne sais pas, je me maudis d’être aussi passive...
J’ai vraiment peur et ma tétanie agace l’une des femmes. Elle me crie dessus, alors je recule jusqu’à ce qu’une des parois de son navire ne stoppe ma retraite. Un homme fouille mon petit vaisseau, disons ma capsule, mais il est loin de moi, alors mon esprit l’écarte. Mais le mot mensonge m’énerve. Ne pas aimer le mensonge dans la famille ? Les insoumis m’ont menti, violé, comment ose-t-elle ? Elle n’est peut-être pas Insoumise après tout.
-- Trinity, je m’appelle Trinity.
J’espère qu’elle ne comprendra pas ce que signifie ce nom que m’ont affublé mes anciens maîtres. Je maudis ma nature Nephilim, car mon corps ne peut pas témoigner des sévices que j’ai subi. Mais l’usure de ma tenue peut peut-être parler un peu plus.
Je réalise que j’ai balancé mon nom en boucle durant mon sauvetage, alors je lui apporte quelques précisions.
-- J’étais sur le vaisseau prison, je suis… j’étais une de leur prisonnière, mais je n’ai commis aucun crime.
Je baisse la tête.
-- J’étais leur esclave.
Et à la réaction de certains, je réalise que bien peu de monde semble avoir une idée de ce qui se trame sur ce vaisseau. Je regarde celle qui m’a hurlé dessus et j’attends ses questions. C’est la chef ? Je ne sais pas, je me maudis d’être aussi passive...
5 messages
Page 1 sur 1
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 0 invités