Le Vaisseau-Monde permet aux réfugiés de vivre dans un luxe relatif, mais les ressources commencent à manquer.
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Un bar, un peu à l'écart [Raven - Kahl]
Je ne sais pas trop à qui s'adresse le chérie. Princesse ou moi ? Peu m'importe le nom de toute façon, mais si c'est à Princesse, alors je les laisserai vaquer à leurs occupations. Nullement jalouse. Je ne cherche pas à savoir si j'aurais du rester à vingt secondes plutôt que trente. Mais j'ai toujours eu la défaite amer. Car j'aime me surpasser. C'est comme ça. Peut être que je devrais demander deux/trois trucs aux autres Insoumis pour booster juste mon bras. Mais ça ne marche pas comme ça avec moi. Je bouge et je quitte cet endroit pour aller payer mon dû comme il se doit au géant. Je m'assure qu'il me suive et le Lynx et le Barge nous suivent aussi. Princesse et le Drayoir vont rester à la fête pour vérifier ce qu'il se passe là bas. De toute façon, nous sommes toujours en communication inter équipe avec nos oreillettes qui ne nous quittent jamais. Nous fonctionnons comme une entité et c'est sans doute ce qui fait que nous fonctionnons si bien. Je m'installe au bar et les deux gars de mon équipe vont plus loin, ils ne seront plus à portée d'oreilles à priori. En tout les cas, le géant et moi seront tranquilles. Sauf si il veut leur présence, dans ce cas, ils reviendront. Je commande directement deux verres pour lui et moi et je m'enfile direct le premier en faisant une grimace. Puis au second, je trinque avec lui.
Je ne pense pas que l'entraînement y changera quelque chose, mais permets moi de retenter ma chance dans une centaine d'année.
Je lui souris, un souris presque candide, celui de ma mère, bien étonnant sur mon propre visage. J'ai souvent horreur que l'on me dise que ce sourire ressemble à celui de ma mère dans ces cas là. Sérieux, on a vraiment rien en commun elle et moi. Je l'adore. Mais je ne veux pas que l'on me compare à elle. On nous insulte toutes les eux en agissant de la sorte. Et souvent, celui qui me sort cela, il se prend direct mon poing dans sa gueule. Bref. Je finis par sortir une feuille de mon décolleté et je la déplie pour la glisser devant le géant. Cette fois-ci, mon sourire se fait malicieux et garce. Est-ce que cette rencontre était prémédité ? est-ce que je ne suis venue à cette soirée que pour lui ? Qui sait ...
Un dessin est griffonné sur la feuille. Il s'agit d'un bracelet intégré au poignet. Il peut voir une grosse réserve d'orgone dans celui-ci.
J'ai besoin d'un truc comme ça. Je veux un bracelet qui peut engranger de l'orgone en plus de celle que j'absorbe et qui puisse me la restituer à petite dose si j'en ai besoin. Les custodes ne sont pas assez fiables.
En vérité, plus le temps passait, et plus je m'habituais aux doses. Et comme une junkie, il m'en fallait plus pour combler ce manque évident que j'avais plus régulièrement. C'était une vraie plaie cette orgone.
T'es l'homme de la situation ou je dois aller voir ailleurs ?
Je ne pense pas que l'entraînement y changera quelque chose, mais permets moi de retenter ma chance dans une centaine d'année.
Je lui souris, un souris presque candide, celui de ma mère, bien étonnant sur mon propre visage. J'ai souvent horreur que l'on me dise que ce sourire ressemble à celui de ma mère dans ces cas là. Sérieux, on a vraiment rien en commun elle et moi. Je l'adore. Mais je ne veux pas que l'on me compare à elle. On nous insulte toutes les eux en agissant de la sorte. Et souvent, celui qui me sort cela, il se prend direct mon poing dans sa gueule. Bref. Je finis par sortir une feuille de mon décolleté et je la déplie pour la glisser devant le géant. Cette fois-ci, mon sourire se fait malicieux et garce. Est-ce que cette rencontre était prémédité ? est-ce que je ne suis venue à cette soirée que pour lui ? Qui sait ...
Un dessin est griffonné sur la feuille. Il s'agit d'un bracelet intégré au poignet. Il peut voir une grosse réserve d'orgone dans celui-ci.
J'ai besoin d'un truc comme ça. Je veux un bracelet qui peut engranger de l'orgone en plus de celle que j'absorbe et qui puisse me la restituer à petite dose si j'en ai besoin. Les custodes ne sont pas assez fiables.
En vérité, plus le temps passait, et plus je m'habituais aux doses. Et comme une junkie, il m'en fallait plus pour combler ce manque évident que j'avais plus régulièrement. C'était une vraie plaie cette orgone.
T'es l'homme de la situation ou je dois aller voir ailleurs ?
Re: Un bar, un peu à l'écart [Raven - Kahl]
-- Je ne pense pas que l'entraînement y changera quelque chose, mais permets moi de retenter ma chance dans une centaine d'année.
-- C’est quand tu veux pour la revange, avec plaisir. A la tienne !
Et sa chope frappe celle de Raven manquant presque de briser l’autre. Comme à l’époque des Vikings, de la bière s’échappe des choppes. S’il y avait du poison, les deux mourront disait la tradition scandinave. Les Skjaldmeyjar, parfois nostalgiques, rapportaient souvent ces propos.
Elle sort de son décolleté un petit papier plié qui contient quelques dessins certainement très intéressant. Mais le Nephilim laisse ses yeux sur le corps de Raven. Il le parcourt.
-- Tu caches beaucoup d’autres secrets entre tes seins ?
La question n’attendait pas forcément de réponse. La jeune femme était canon, certainement plus jeune que lui vu ce qu’elle demandait.
-- T'es l'homme de la situation ou je dois aller voir ailleurs ?
-- Tu demandes à un asmodéen s’il est le mec de la situation ?
Il boit une autre rasade de bière et regarde le dessin qu’elle a croqué.
-- Intéressant !
Il pourrait demander pourquoi elle en a besoin, mais il s’en fout complètement. Plusieurs choses l’intéresse chez cette femme, son cul et le défi qu’elle vient de lui lancer. Il adore se surpasser. Les vaisseaux possèdent désormais des réserves d’Orgone pour permettre des avancées technologiques. L’Orgone se négocie et elle aurait pu donner un sérieux avantage durant la guerre, si les clans ne s’en était pas servi pour se tirer dans les pattes. Mais le passé, Kahl s’en tape le bourrichon.
-- Ouais je peux faire cela. Tu as quel âge ?
Mouais demander son âge à une gonzesse, ce n’est pas ce qu’il se fait de mieux pour l’aborder. Quoi que deviner son âge et se tromper peut-être pire.
-- Me faut l’info, pour savoir la réserve qu’il faut concentrer.
Il prend ensuite le poignet de Raven et en mesure la circonférence entre son majeur et son pouce. Elle est fine, comme bien des femmes, rien à voir avec le gabarit de Kahl. Le défi est vraiment sympa. Il réfléchit et prend son temps. Il finit par lui lâcher poignet et juste avant de reboire un verre, il ajoute.
-- T’as quoi à me troquer ?
-- C’est quand tu veux pour la revange, avec plaisir. A la tienne !
Et sa chope frappe celle de Raven manquant presque de briser l’autre. Comme à l’époque des Vikings, de la bière s’échappe des choppes. S’il y avait du poison, les deux mourront disait la tradition scandinave. Les Skjaldmeyjar, parfois nostalgiques, rapportaient souvent ces propos.
Elle sort de son décolleté un petit papier plié qui contient quelques dessins certainement très intéressant. Mais le Nephilim laisse ses yeux sur le corps de Raven. Il le parcourt.
-- Tu caches beaucoup d’autres secrets entre tes seins ?
La question n’attendait pas forcément de réponse. La jeune femme était canon, certainement plus jeune que lui vu ce qu’elle demandait.
-- T'es l'homme de la situation ou je dois aller voir ailleurs ?
-- Tu demandes à un asmodéen s’il est le mec de la situation ?
Il boit une autre rasade de bière et regarde le dessin qu’elle a croqué.
-- Intéressant !
Il pourrait demander pourquoi elle en a besoin, mais il s’en fout complètement. Plusieurs choses l’intéresse chez cette femme, son cul et le défi qu’elle vient de lui lancer. Il adore se surpasser. Les vaisseaux possèdent désormais des réserves d’Orgone pour permettre des avancées technologiques. L’Orgone se négocie et elle aurait pu donner un sérieux avantage durant la guerre, si les clans ne s’en était pas servi pour se tirer dans les pattes. Mais le passé, Kahl s’en tape le bourrichon.
-- Ouais je peux faire cela. Tu as quel âge ?
Mouais demander son âge à une gonzesse, ce n’est pas ce qu’il se fait de mieux pour l’aborder. Quoi que deviner son âge et se tromper peut-être pire.
-- Me faut l’info, pour savoir la réserve qu’il faut concentrer.
Il prend ensuite le poignet de Raven et en mesure la circonférence entre son majeur et son pouce. Elle est fine, comme bien des femmes, rien à voir avec le gabarit de Kahl. Le défi est vraiment sympa. Il réfléchit et prend son temps. Il finit par lui lâcher poignet et juste avant de reboire un verre, il ajoute.
-- T’as quoi à me troquer ?
Re: Un bar, un peu à l'écart [Raven - Kahl]
Je m'amusais de voir ses réactions. Bon vivant, aimant la gueuze, et sachant tropquer, il n'était pas un hommr gentil, mais plutot pragmatique.La gentillesse se perdait et surtout, elle faisait mourir. Ma mère ne comprenait toujours pas le contexte, alors certains Insoumis se privaient pour elle. Mais elle était loin d'etre idiote, elle leur rendait l'appareil à chaque fois et souvent bien plus que prévu. Je posais la choppe que je buvais tranquillement et je montrais clairement que la réaction de l'homme m'amusait.
J'ai dans les 666 ans. Avec la Kabbale difficile d'etre sur, mais à quelques années près, le compte devrait etre bon. Quand à ce que je peux t'offrir en échange ... Mhum, une bonne baise ? Trop facile, gardons cela pour le plaisir.
Elle ne troquerait pas du sexe avec ce grand gaillard. Si elle voulait le baiser, elle le ferait, parce que cela lui plairait. Troquer le sexe, c'était des trucs d'humains ça. Pas de Nephilim.
Je pourrais te troquer le dernier caillou que l'on a trouvé lors de notre dernière expédition.
Je sortais un écran pour lui montrer le dit caillou. Ce n'était pas un bete caillou, sur le marché noir, il valait son pesant d'or, mais il n'était pas idiot, il le savait.
Sinon, je peux te rendre quelques voleuses de nos défunts. J'ai horreur de voir ses armes pourrir dans un endroit comme une tombe. Je reste persuadée qu'il y a encore quelques choses dans ses voleuses.
Chacun bossait comme il le voulait. Et chacun pensait ce qu'il voulait. Il suffisait de voir Princesse avec les créatures de Kabbale. On dirait des animaux de compagnie avec elle. Alors pourquoi ces armes auraient d'un coup plus rien ?
Et si rien de tout cela ne te tente, je peux discuter avec l'une de mes membres de mon équipage. Elle pourra te fournir ses services très particulier trois fois. Et n'essaye pas de marchander plus, elle est très douée dans son domaine. Et il est hors de question qu'on la casse.
Les huains. Est-ce que j'aimais les humains ? Pas plus pas moins qu'un autre. Je n'étais pas comme Sainte Lidrya à prier pour tout le monde.Je ne priais que pour ma paroisse. Alors les humains avaient une utilité, l'orgone. Et à cause de mon sérieux problème d'orgone et de mon coté sado-maso, je me retrouvais à leur en vouloir d'etre si éphémere. Si fragile. Si humain.
J'ai dans les 666 ans. Avec la Kabbale difficile d'etre sur, mais à quelques années près, le compte devrait etre bon. Quand à ce que je peux t'offrir en échange ... Mhum, une bonne baise ? Trop facile, gardons cela pour le plaisir.
Elle ne troquerait pas du sexe avec ce grand gaillard. Si elle voulait le baiser, elle le ferait, parce que cela lui plairait. Troquer le sexe, c'était des trucs d'humains ça. Pas de Nephilim.
Je pourrais te troquer le dernier caillou que l'on a trouvé lors de notre dernière expédition.
Je sortais un écran pour lui montrer le dit caillou. Ce n'était pas un bete caillou, sur le marché noir, il valait son pesant d'or, mais il n'était pas idiot, il le savait.
Sinon, je peux te rendre quelques voleuses de nos défunts. J'ai horreur de voir ses armes pourrir dans un endroit comme une tombe. Je reste persuadée qu'il y a encore quelques choses dans ses voleuses.
Chacun bossait comme il le voulait. Et chacun pensait ce qu'il voulait. Il suffisait de voir Princesse avec les créatures de Kabbale. On dirait des animaux de compagnie avec elle. Alors pourquoi ces armes auraient d'un coup plus rien ?
Et si rien de tout cela ne te tente, je peux discuter avec l'une de mes membres de mon équipage. Elle pourra te fournir ses services très particulier trois fois. Et n'essaye pas de marchander plus, elle est très douée dans son domaine. Et il est hors de question qu'on la casse.
Les huains. Est-ce que j'aimais les humains ? Pas plus pas moins qu'un autre. Je n'étais pas comme Sainte Lidrya à prier pour tout le monde.Je ne priais que pour ma paroisse. Alors les humains avaient une utilité, l'orgone. Et à cause de mon sérieux problème d'orgone et de mon coté sado-maso, je me retrouvais à leur en vouloir d'etre si éphémere. Si fragile. Si humain.
Re: Un bar, un peu à l'écart [Raven - Kahl]
-- 666 ans depuis combien de temps ? rit-il. Ouais 666 ans à peu près, ça sonne bien. Elle aurait pu dire 650, c’est un chiffre plus rond. Mais 666 pour la fille d’Hadès, ok, respect.
Kahl a beau être un asmodéen, il n’en est pas moins un homme rusé qui ne s’arrête pas au sexe. Il regarde Raven, la mate quand elle lui promet une bonne baise et arque un sourcil désapprobateur. Il n’aime pas les putes. Elles sont essentiellement humaines, pratiques quand on a rapidement besoin d’un shoot d’Orgone, mais elles n’ont aucune passion et on se fait chier au pieu avec elles.
Il prend l’écrin et observe la pierre. Elle ne se fout clairement pas de sa gueule. Le marché est honnête. Malheureusement pour lui, les voleuses des défunts sont également un troc intéressant. Il sourit, elle l’intéresse. Elle lui propose même de s’amuser avec une de leurs esclaves sexuelles. Bon les insoumis n’ont pas d’esclaves humaines, mais elle aurait une bombe sexuelle à lui proposer trois fois. Mouais intéressant.
-- Tu penses vraiment que ta bimbo va pouvoir apprendre un truc à un asmodéen ?
Il n’est pas ironique, il est amusé de la confiance qu’elle a envers cette humaine. Il cogne son pichet sur la table pour faire comprendre au serveur de lui remplir sa chope et il désigne Raven du regard quand il s’agit de payer.
-- Les voleuses de tes défunts et je te fais ton bracelet, sans garantie de résultat, mais avec ma garantie sur les moyens engagés. Pour la pierre précieuse, garde là de côté, elle m’intéresse. Quand tu te pointeras à mes forges, on trouvera bien un truc à troquer contre ton caillou.
Il trinque alors avec elle. Il ne s’est pas foutu de sa gueule en demandant un prix exorbitant. Troquer c’est bon pour le commerce. Arnaquer, sur le long terme, est surtout une solution pour finir avec un voleuse entre les omoplates.
-- Je te laisse ta bimbo, elle ne m’intéresse pas plus que cela. Par contre, si elle veut des cours, j’ai toujours des charmeurs qui pourront lui en donner.
C’est pas que, mais il ne faudrait pas qu’une insoumise vole la vedette et la notoriété légendaires des asmodéens.
-- Toi par contre, tu me plais bien. J’espère que tu passeras à l’occasion pour baiser.
Il se penche vers elle et compte attraper sa mâchoire entre sa paume et son index pour l’embrasser sans grande subtilité. Ouais lui rouler une pelle quoi !
Kahl a beau être un asmodéen, il n’en est pas moins un homme rusé qui ne s’arrête pas au sexe. Il regarde Raven, la mate quand elle lui promet une bonne baise et arque un sourcil désapprobateur. Il n’aime pas les putes. Elles sont essentiellement humaines, pratiques quand on a rapidement besoin d’un shoot d’Orgone, mais elles n’ont aucune passion et on se fait chier au pieu avec elles.
Il prend l’écrin et observe la pierre. Elle ne se fout clairement pas de sa gueule. Le marché est honnête. Malheureusement pour lui, les voleuses des défunts sont également un troc intéressant. Il sourit, elle l’intéresse. Elle lui propose même de s’amuser avec une de leurs esclaves sexuelles. Bon les insoumis n’ont pas d’esclaves humaines, mais elle aurait une bombe sexuelle à lui proposer trois fois. Mouais intéressant.
-- Tu penses vraiment que ta bimbo va pouvoir apprendre un truc à un asmodéen ?
Il n’est pas ironique, il est amusé de la confiance qu’elle a envers cette humaine. Il cogne son pichet sur la table pour faire comprendre au serveur de lui remplir sa chope et il désigne Raven du regard quand il s’agit de payer.
-- Les voleuses de tes défunts et je te fais ton bracelet, sans garantie de résultat, mais avec ma garantie sur les moyens engagés. Pour la pierre précieuse, garde là de côté, elle m’intéresse. Quand tu te pointeras à mes forges, on trouvera bien un truc à troquer contre ton caillou.
Il trinque alors avec elle. Il ne s’est pas foutu de sa gueule en demandant un prix exorbitant. Troquer c’est bon pour le commerce. Arnaquer, sur le long terme, est surtout une solution pour finir avec un voleuse entre les omoplates.
-- Je te laisse ta bimbo, elle ne m’intéresse pas plus que cela. Par contre, si elle veut des cours, j’ai toujours des charmeurs qui pourront lui en donner.
C’est pas que, mais il ne faudrait pas qu’une insoumise vole la vedette et la notoriété légendaires des asmodéens.
-- Toi par contre, tu me plais bien. J’espère que tu passeras à l’occasion pour baiser.
Il se penche vers elle et compte attraper sa mâchoire entre sa paume et son index pour l’embrasser sans grande subtilité. Ouais lui rouler une pelle quoi !
Re: Un bar, un peu à l'écart [Raven - Kahl]
Je le laisse m'embrasser, enfin non, mon regard étincelle quand je sens sa poigne. J'ai très envie de voir jusqu'à quel point il a du mordant Alors, quand il m'embrasse, plutot que de faire la fille "ouais le mec m'embrasse trop fort, je suis trop forte", ouais la pimbéche, je l'embrasse en retour. Pourtant, je garde une certaine retenue, un certain dédain sans doute (ouais la pimbéche), mais surtout je mords un peu sa langue, par amusement, pour voir qu'elle sera sa réaction. Est-ce qu'il est mon genre de mec ? Pour la baise entendons-nous bien, car mon coeur n'est pas à prendre.
D'ailleurs en parlant de coeur ...
Le lynx : Non, mais elle a besoin de lui ouvrir sa bouche ?
Le Barge : Généralement, pour un baiser, c'est plus pratique non ?
Le lynx : Elle a qu'à lui ouvrir ses cuisses pendant qu'on y est ...
Le Barge : Ha bah maintenant que tu le dis ...
Et oui, maintenant que le Lynx le disait (fait exprés ou pas ?), je relevais un peu ma jupe pour poser mes genoux sur les cuisses de Kahl, les talons aiguilles sur mon propre tabouret que je venais de quitter. Cette fois-ci, c'est moi qui lui prenait sa machoire entre mes doigts.
Et si on commençait maintenant ?
Je me foutais carrément d'où on était. En tout les cas, je le surplombais un peu et l'une de mes mains posaient sur son épaule savourait cette masse.
Au fait, qui t'as dit que pour l'humaine c'était le cul qu'elle te proposerais ?
Et je lui glissais à l'oreille le nom de l'humaine de l'équipage. La sororité était connue. Elle était en grande partie Asmodéennes d'ailleurs. D'ailleurs peut etre que la mienne l'était. Je n'ai jamais dit qu'elle était forcément Insoumise. Mais bon passons, je m'amusais à souffler le chaud sur Kahl, car je comptais bien que nous allions ailleurs. Et le Lynx hurlait dans mon oreillette avec le Barge qui se marrait et envenimer la situation.
Le Barge : Oui, on a compris tu veux son cul, mais tu l'as déjà et nous aussi. Tu ne te mets pas dans tous tes états avec nous. Quoi ?T'as peur que Kahl lui vole son coeur ?Laisse tomber va.
Le Drayoir : On bouge. Maintenant ! On nous demande de prendre les airs.
Le Lynx et le Barge se levérent immédiatement, moi, je me raidis sur Kahl et je me mis à soupirer.cela se voyait que j'étais déçue.
Le plaisir ne sera pas pour ce soir. Je dois m'envoler. Mais on se revoit bientot.
Je l'embrassais pour la forme, douloureusement, plantait mes ongles dans sa chair, mes dents dans sa bouche. Quel dommage. Un si beau gibier ... Ou moi une si belle proie. Je payais la note, descendait de ma monture (Kahl) et je lui filais le moyen de me contacter.
Demande moi, meme si ce n'est pas près.
Comprendre par là, je veux baiser avec toi, pas besoin d'attendre le business.
D'ailleurs en parlant de coeur ...
Le lynx : Non, mais elle a besoin de lui ouvrir sa bouche ?
Le Barge : Généralement, pour un baiser, c'est plus pratique non ?
Le lynx : Elle a qu'à lui ouvrir ses cuisses pendant qu'on y est ...
Le Barge : Ha bah maintenant que tu le dis ...
Et oui, maintenant que le Lynx le disait (fait exprés ou pas ?), je relevais un peu ma jupe pour poser mes genoux sur les cuisses de Kahl, les talons aiguilles sur mon propre tabouret que je venais de quitter. Cette fois-ci, c'est moi qui lui prenait sa machoire entre mes doigts.
Et si on commençait maintenant ?
Je me foutais carrément d'où on était. En tout les cas, je le surplombais un peu et l'une de mes mains posaient sur son épaule savourait cette masse.
Au fait, qui t'as dit que pour l'humaine c'était le cul qu'elle te proposerais ?
Et je lui glissais à l'oreille le nom de l'humaine de l'équipage. La sororité était connue. Elle était en grande partie Asmodéennes d'ailleurs. D'ailleurs peut etre que la mienne l'était. Je n'ai jamais dit qu'elle était forcément Insoumise. Mais bon passons, je m'amusais à souffler le chaud sur Kahl, car je comptais bien que nous allions ailleurs. Et le Lynx hurlait dans mon oreillette avec le Barge qui se marrait et envenimer la situation.
Le Barge : Oui, on a compris tu veux son cul, mais tu l'as déjà et nous aussi. Tu ne te mets pas dans tous tes états avec nous. Quoi ?T'as peur que Kahl lui vole son coeur ?Laisse tomber va.
Le Drayoir : On bouge. Maintenant ! On nous demande de prendre les airs.
Le Lynx et le Barge se levérent immédiatement, moi, je me raidis sur Kahl et je me mis à soupirer.cela se voyait que j'étais déçue.
Le plaisir ne sera pas pour ce soir. Je dois m'envoler. Mais on se revoit bientot.
Je l'embrassais pour la forme, douloureusement, plantait mes ongles dans sa chair, mes dents dans sa bouche. Quel dommage. Un si beau gibier ... Ou moi une si belle proie. Je payais la note, descendait de ma monture (Kahl) et je lui filais le moyen de me contacter.
Demande moi, meme si ce n'est pas près.
Comprendre par là, je veux baiser avec toi, pas besoin d'attendre le business.
Re: Un bar, un peu à l'écart [Raven - Kahl]
Kahl n’était pas du genre moteur diesel à mettre trois plombes pour chauffer. Quand elle lui rendit son baiser et qu’elle commença à lui grimper dessus, il plaqua aussitôt son énorme main sur son cul pour que leur bassin se colle l’un à l’autre. Il apprécia la morsure, la gueuse avait du répondant et il aimait ça.
-- Au fait, qui t'as dit que pour l'humaine c'était le cul qu'elle te proposerais ?
-- Bah les humains… A part pour fournir de l’Orgone, ils font rarement mieux que nous, non ?
On avait beau défendre la veuve et l’orphelin, les Nephilim travaillaient plus vite que les humains. Et dans bien des domaines, ils n’égalaient pas les déchus. Alors pour l’asmodéen, il lui était difficile de les voir compétent dans un domaine autre que de boîte à Orgone sur pattes. Un sourire carnassier se dessina sur les lèvres de Kahl.
-- Mais bon, c’est pas plus mal si c’est pour autre chose. Si elle est fragile, elle risquerait de ne pas se remettre d’une orgie avec les asmodéens.
Mais la voilà à souffler le froid et à prétendre devoir se casser. Kahl se soucie peu des problèmes de la flotte. Il répare, recycle par passion. alors cette rumeur de vaisseau, il s’en tape. Elle se raidit et va pour partir, mais il ne lâche pas sa prise et la plaque contre lui.
-- Que je te demande ?
Il jette un coup d’oeil au Drayoir et au Barge. A force de mater, ils manquaient clairement de discrétion et Kahl avait même entendu des bribes de leur conversation, enfin surtout les remarques du Barge.
-- Tes copains ont l’air un peu possessif. Je pense pas qu’ils te transmettront ma demande. Alors, on s’en passera.
Il l’embrasse et la plaque contre le bar. Le serveur leur fait même une réflexion et se prend un doigt d’honneur de la part de Kahl. A mon avis, il en reçoit également un de Raven, mais Kahl ayant les yeux fixés sur le barge, il n’a pas vu le geste de sa partenaire. Et cette fois c’est lui qui la mord à l’en faire saigner avant de la libérer.
Elle frappa son holodeck contre le sien et les données s’échangèrent pour qu’ils puissent se recontacter.
-- Tu sais où ramener ton petit cul maintenant. Quant au business, ce sera la poupée en sucre !
Il venait de signer pour trois services avec l’humaine, dont le nom ne lui avait d’ailleurs rien dit. Il commanda une autre bière. Le serveur rechigna à le servir à cause de ce doigt d’honneur, mais il comprit qu’il ne fallait pas faire chier un asmodéen frustré.
-- Bon ! Y'a autre chose que des allumeuses ici ?
Il se retourna et regarda l’assistance. Mouais, il allait bien se trouver une humaine ou deux pour finir la soirée. C’est nouvel an après tout !
-- Au fait, qui t'as dit que pour l'humaine c'était le cul qu'elle te proposerais ?
-- Bah les humains… A part pour fournir de l’Orgone, ils font rarement mieux que nous, non ?
On avait beau défendre la veuve et l’orphelin, les Nephilim travaillaient plus vite que les humains. Et dans bien des domaines, ils n’égalaient pas les déchus. Alors pour l’asmodéen, il lui était difficile de les voir compétent dans un domaine autre que de boîte à Orgone sur pattes. Un sourire carnassier se dessina sur les lèvres de Kahl.
-- Mais bon, c’est pas plus mal si c’est pour autre chose. Si elle est fragile, elle risquerait de ne pas se remettre d’une orgie avec les asmodéens.
Mais la voilà à souffler le froid et à prétendre devoir se casser. Kahl se soucie peu des problèmes de la flotte. Il répare, recycle par passion. alors cette rumeur de vaisseau, il s’en tape. Elle se raidit et va pour partir, mais il ne lâche pas sa prise et la plaque contre lui.
-- Que je te demande ?
Il jette un coup d’oeil au Drayoir et au Barge. A force de mater, ils manquaient clairement de discrétion et Kahl avait même entendu des bribes de leur conversation, enfin surtout les remarques du Barge.
-- Tes copains ont l’air un peu possessif. Je pense pas qu’ils te transmettront ma demande. Alors, on s’en passera.
Il l’embrasse et la plaque contre le bar. Le serveur leur fait même une réflexion et se prend un doigt d’honneur de la part de Kahl. A mon avis, il en reçoit également un de Raven, mais Kahl ayant les yeux fixés sur le barge, il n’a pas vu le geste de sa partenaire. Et cette fois c’est lui qui la mord à l’en faire saigner avant de la libérer.
Elle frappa son holodeck contre le sien et les données s’échangèrent pour qu’ils puissent se recontacter.
-- Tu sais où ramener ton petit cul maintenant. Quant au business, ce sera la poupée en sucre !
Il venait de signer pour trois services avec l’humaine, dont le nom ne lui avait d’ailleurs rien dit. Il commanda une autre bière. Le serveur rechigna à le servir à cause de ce doigt d’honneur, mais il comprit qu’il ne fallait pas faire chier un asmodéen frustré.
-- Bon ! Y'a autre chose que des allumeuses ici ?
Il se retourna et regarda l’assistance. Mouais, il allait bien se trouver une humaine ou deux pour finir la soirée. C’est nouvel an après tout !
Re: Un bar, un peu à l'écart [Raven - Kahl]
Résumé du RP
Kahl et Raven se cherchent tant et si bien qu'ils finissent par se retrouver l'un contre l'autre, à deux doigts de baiser sur le comptoir du bar d'Emery. Mais loin de ne penser qu'au sexe, ils profitent de leur pari pour marchander. Le troc plait bien à Kahl. Elle cherche un bracelet capable d'emmagasiner de l'Orgone et elle lui propose des trucs plutôt intéressants. La baise n'entre pas dans les enchères, mais ils s'entendent sur trois services que lui rendra une humaine que connait visiblement bien Raven.
Alors que Kahl était en train de se demander s'il allait pouvoir la baiser là, Raven est rappelée à l'ordre par son équipe. Ils doivent dégager pour répondre à un appel de détresse.
Kahl la laisse partir mais refuse de venir la "demander". Ce n'est pas que la promesse d'une bonne baise le dérange, il a remarqué les deux boyscouts et il n'a pas envie de leur demander la permission de monter à bord du Liberty pour sauter la Capitaine. Il lui laisse ses coordonnées, à elle de ramener son séant !
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